Jocelyn Harvey [admin]

[HARVEY JOCELYN]

Nom: Harvey.
Prénom: Jocelyn.
Surnom: Joss.
Date de naissance: 11 août 1954
Age: 22 ans.
Lieu de naissance: Newcastle, Angleterre.
Nationalité: Anglaise.
Origine(s): Anglaise et d'une grande lignée de sang pur du côté de sa mère: les Harvey. Du côté de son père, ça n'a que peu d'intêrets pour elle. Mais pour le préciser, il vient d'une famille 100 pourcent moldus du Nord de l'Angleterre.
Emploi: Professeur d'Arithmancie à Poudlard/Mangemort.
Année d'étude: Etudes terminées.
Maison: Elle était à Serpentard lorsqu'elle était élève à Poudlard.
Situation sanguine: Sang mêlé.

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Caractère: Peut être que si Jocelyn avait été élevé par sa mère et par son père moldu, elle ne serait pas devenue cette personne. Mais, il semblerait que dès le début, dès un très jeune âge, elle avait la sensation d'être supérieure. Tout d'abord vis à vis de son père moldu, puis vis à vis d'autres sorciers. La force de Jocelyn vient en effet de cette impression d'être supérieure aux autres. Elle ne se trouve pas prétentieuse mais réaliste. Après tout, il est vrai qu'elle est surdouée, il est également vrai que c'est une sorcière très talentueuse qui a fait impression à Pourdlard. Elle en prend juste conscience au lieu de jouer la fausse modestie qu'on retrouve souvent chez ces personnes qu'elle trouve ridicules. A propos de celles ci, elle pourrait se contenter de les détester tout comme elles détestent les sang de bourbe et les faibles. Mais une personne aussi maligne qu'elle trouve bien mieux à faire, en particulier quand le Seigneur des Ténèbres lui confie une mission.

En effet, Jocelyn est très joueuse et également très douée pour la comédie. Ses talents d'actrice lui sont d'un grand secours ces temps ci où elle doit se contenter d'être l'enseignante d'une matière aussi stupide que l'arithmancie. Elle préférait cent fois enseigner la magie noire plutôt que cette matière si inutile dont elle se charge. Quoiqu'il en soit, elle joue ce rôle débile de l'enseignante avec talent. Si ça l'amuse parfois, ça peut également la laisser. Elle aime se jouer des gens, les tromper en pensant au moment où la déception leur apparaîtra... il ne leur restera alors plus que quelques secondes à vivre, et leur dernière découverte sera la véritable Jocelyn Harvey. Mais elle est souvent écoeurée de devoir parler à des personnes faibles comme si elle était une gentille prof compatissante. Enseigner à des sorciers faibles, ne venant pas d'une pure lignée de sorciers, quelle perte de temps !

Elle est donc assez hypocrite. Mais elle trouve que c'est bien utile pour obtenir ce dont on a besoin. Elle joue la proximité quand c'est utile. Jocelyn Harvey, professeur d'Arithmancie est une personne fausse. Personne à Poudlard ne connaît la véritable Jocelyn. Une jeune femme cruelle, sans pitié, qui méprise la faiblesse et ce que Poudlard tente de faire du monde de la magie. A la place de Dumbledore, il faudrait un directeur avec les mêmes convictions que les Mangemorts. Quelqu'un de fort et pas de fou comme le directeur actuel.
On ne peut pas le nier, elle dégage beaucoup de classe. Que ce soit quand elle tue ou dans sa vie de tous les jours. On pourrait la comparer au tueur en série intelligent, manipulateur qu'on trouve classe dans les films. Elle n'a rien de la bête sauvage. Toutefois, elle n'est pas cruelle avec tout le monde, ni fausse. Il y a Lord Voldemort, celui qu'elle considère sans doute comme un père même s'il n'est pas le genre à témoigner de l'affection comme le père que l'on s'imagine. Mais elle n'a pas vraiment un coeur énorme non plus. D'accord, elle doit admettre qu'il y a bien une personne qu'elle apprécie réellement, Caleb Parker. Mais il mérite au moins son admiration. Elle respecte et admire la première, alors qu'elle aime sans doute la seconde au point d'admettre qu'elle a sans doute un coeur.

Aime:

¤~¤ La magie, cette chose qui n'est pas donnée aux plus faibles, et quand il y a exception, les faibles le font de manière si stupide. Du jour où la magie est entrée dans sa vie, Jocelyn s'est sentie forte et elle a compris que c'était une chose donnée aux êtres puissants.

~¤~ Lord Voldemort et ses convictions. Une personne admirable pour elle qui lui a montré son destin. Même si la place de favorite n'est pas facile, elle fait de son mieux pour ne pas le décevoir... et il est vrai qu'il ne vaut mieux pas le décevoir. Elle le considère comme une sorte de père, de modèle.

~¤~ Caleb Parker. Lorsqu'elle l'a rencontré à Poudlard, elle l'a tout de suite respecté comme un sorcier puissant. Et puis elle a grandit et elle a admit qu'elle pouvait avoir une personne proche d'elle.

~¤~ Se jouer des gens faibles et les tuer quand elle en a l'occasion.

N'aime pas:

~¤~ Les sang de bourbe et les moldus, mais quand on est dans le clan des Mangemorts, c'est une chose normale.

~¤~ Les faibles, ils ne servent qu'à être dominé. Elle se sent supérieure au trois quart des gens. C'est vrai qu'elle n'aime pas grand monde.

~¤~ L'arithmancie. Quelle ironie que ce soit la matière qu'elle enseigne justement. Il y en avait tellement d'autres qu'elle aurait préféré enseigner. Enfin enseigner... autant dire qu'elle ne parle pas beaucoup d'arithmancie dans son cours.

~¤~ Poudlard. Une école qui tombe en ruines de jour en jour. Des professeurs plus faibles les uns que les autres et un directeur fou. Admettre les sang de bourbe et toute cette vermine ne peut nuire qu'à la race.

~¤~ Certains Mangemorts. Il faut dire que la plupart sont à la limite de lui faire pitié. Heureusement, elle n'est pas du genre à prendre les gens en pitié. Mais certains sont si faibles, si faux envers le Seigneur des Ténèbres, si pathétiques... la liste est longue. Par intérêt, elle joue toutefois un jeu avec certains d'entre eux.

Physique: Jocelyn Harvey a l'avantage d'avoir un physique plaisant. Bien utile quand on est une personne comme elle. Obtenir quelque chose d'un homme est alors tellement plus facile qu'avez le nez crochu de la sorcière qu'on voit dans les livres stupides de moldus. La demoiselle dégage une certaine classe et une beauté incontestable, elle attire beaucoup plus qu'elle ne repousse. N'ignorant pas ce point, elle n'a pas de honte à en user si nécessaire.
Au niveau de la taille, la jeune femme mesure 1mètre72. Si on continue sur le corps, on peut également dire qu'au niveau des formes, elle peut se qualifier de féminine et de mince. Si on s'attache désormais au visage en commençant par les traits, on pourra parler de lèvres pulpeuses et de traits bien déssinés. Mais ce qu'on note en premier au niveau du visage, c'est sans nul doute les yeux de Jocelyn. Des yeux verts, une touche de gris et un regard particulier qui séduit quand elle le veut, ou qui peut effrayer si on la contrarie et qu'elle décide de se conduire un peu moins faussement. Pour ce qui est des cheveux, ils sont de couleur brune foncée et elle les porte longs, notons qu'ils ondulent légèrement. Enfin, au sujet du style vestimentaire, elle s'habillera toujours de manière classe et féminine.

Tic: A priori aucun, à part celui de détester la majorité des gens.

Avatar: Mandy Moore

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Histoire:

L'histoire de Jocelyn Harvey commence par une écoeurante histoire d'amour. Bien sûr, c'est une histoire d'amour improbable qui ferait pleurer dans les chaumières et fantasmer de stupides jeunes filles romantiques. Quoi de plus improbable que la naissance de la flamme de la passion entre une sang pur à la famille aux convictions style mangemort, et un simple moldu sans aucun but dans la vie que de vendre des livres ? Pour l'enfant qui naîtra de cette union, il n'y a rien de plus grotesque. Evidemment, elle doit la vie à cette union, mais quelle pensée écoeurante !
Mais même si pour elle l'histoire n'a rien d'un conte de fées, nous ne sortirons pas de la tradition et nous commencerons ce récit par le classique...

Il était une fois Katelyn Harvey, ravissante jeune fille de 18 ans. Ravissante et malheureuse parce qu'elle se sentait seule. Et oui, elle appartenait à la catégorie des jeunes filles romantiques qui attendent l'amour en haut de leur balcon. Son voeu le plus cher était de rencontrer le prince charmant est de fonder une famille heureuse avec lui. L'héroïne éphèmere de ce récit ne partageait pas le point de vue de sa famille sur la race. Les Harvey était une famille au sang pur qui le revendiquait avec fierté. Des magiciens de génération en génération et leur plus grand souhait était que cela continue toujours.
Malheureusement, ce fut le voeu de Katelyn que le destin choisit de réaliser lorsqu'il mit sur sa route Jonathan Harving. Ce dernier n'avait aucune connaissance de la magie. Et s'il croisa la route de la belle Katelyn, ce fut grace à son métier. Il venait faire du porte à porte, vendre ses livres. La première chose qu'il pensa, c'est qu'il avait été bien malchanceux de sonner chez une famille pareille. Les Harvey s'était amusés du moldu avant de le mettre à la porte.

Mais quand Katelyn le rattrape pour lui acheter un livre, il oublie aussitot ses malheurs pour laisser son coeur s'embraser de passion. Pendant plusieurs mois, les deux jeunes se verront en cachette. C'est pendant ses rendez vous secrets que la jeune Harvey tombera enceinte. Mais avant qu'elle ne l'apprenne, le couple sera démasqué par le plus jeune frère de Katelyn. Avant que celui ci n'avertisse le chef de famille, la demoiselle prendra la fuite avec son amant. Loin, très loin de cette famille qu'elle n'a jamais compris.
Le couple s'installe à Newcastle et se marie avec la famille du jeune marié. De ses pouvoirs, ses origines, Katelyn ne dira rien. Elle décide de tout renier et de ne jamais rien dire à l'enfant qu'elle porte quand il viendra au monde. C'est pour elle la meilleure façon de protéger l'homme qu'elle aime plus que tout. Car si sa famille vient à la retrouver, elle sait le sort qu'on réservera à son mari.

C'est une vie complètement différente qui commence pour la sorcière. Elle apprend à vivre en tant que moldu, la magie ne lui manque pas. Elle vit sa grossesse comme une femme normale, fait des projets avec son mari, rit sans se soucier du reste.
Et puis, une petite fille voit le jour, une ravissante petite fille que les parents nommeront Jocelyn. Ils l'aiment plus que tout et lui voit déjà un bel avenir, dans le monde moldu évidemment. C'est vrai, ils l'aiment... pourtant, elle passe en second. Ils vivent une sorte d'amour unique et ne pourraient vivre l'un sans l'autre.
Comme la mère l'avait décidé, elle ne dit rien à sa fille et l'éleva en parfaite moldu. Elle était sans doute trop aveuglée par son amour pour réfléchir au jour où Jocelyn témoignerait peut être des pouvoirs. Mais ce que l'enfant témoigne en premier c'est une remarquable intelligence. Intelligence qui effraie la mère et qui ravie le père. Quelque chose dérange Katelyn dans cet enfant, un sentiment étrange. Etait-ce là la légendaire intuition féminine ? Qui sait.

Quoi qu'il en soit, la mère prend ses distances vis à vis de l'enfant. Le père ne comprend pas mais ne fait aucuns repproches à sa femme. Et puis, vient le jour où Jocelyn pose cette question à sa mère. Cette question qui ne fera que rendre la jeune maman plus craintive. L'enfant l'effrayait déjà avant, mais désormais...

"Dis maman... je ne sais pas bien encore pourquoi mais.... D'une certaine manière, j'ai la conviction d'être différente. Pas seulement parce que je suis plus intelligente, mais pour quelque chose d'autre. Et puis, je me sens supérieure à la plupart des personnes mais.... Je me sens surtout plus forte et importante que papa qui donne l'impression d'être faible."

La claque qu'elle reçu alors, jamais Jocelyn ne l'oublia. Pas parce qu'elle était violente, mais parce que, par la suite, en découvrant tout, elle saurait que sa mère avait définitivement choisit une ridicule faiblesse selon elle.
Elle n'a que cinq ans et pourtant la petite s'exprime déjà comme un adulte, elle n'a même pas des occupations d'enfants. Elle semble chercher quelque chose, quelque chose qui lui manque et qui doit la rendre spéciale. Et elle ne tarde pas à le découvrir avant même son sixième anniversaire. Des pouvoirs ! Elle a des pouvoirs ! Non, elle ne doit pas le dire à sa mère, elle ne comprendrait pas, elle semble bien inférieure, presque autant que son père.
Alors, elle garde ce secret pour elle même si elle brûle d'envie d'en connaître les raisons. Et le destin décide alors de réaliser un voeu également pour l'autre côté.

Le jour de ses six ans, Jocelyn voit entrer plusieurs hommes avec des baguettes dans sa petite maison. Certains ressemblent à sa maman, peut être même un peu à elle. Intriguée, fascinée parce qu'ils sont comme elle, elle est prête à les suivre avant même qu'ils ne l'enlèvent. Et quand ils s'en emparent, la mère ne fait rien pour les retenir, elle ne fait rien pour sauver son propre enfant dont elle a peur. Quand son mari revient à la maison, elle joue d'abord l'innocence. Mais devant le désordre de sa maison et la déclaration peu plausible de sa femme, il tient bon. Alors, elle lui avoue tout. Il la quitte la laissant sombrer dans le chagrin, puis dans la folie. La fin de l'histoire pour Katelyn Harving finit bien tristement. Elle se jetera du haut d'une falaise sans raison de s'accrocher à ce monde.
Mais pour Jocelyn, l'histoire est loin d'être terminée. Elle fait ses premiers pas dans le manoir de ses ancêtres, de sa famille, sa véritable famille à ses yeux. Au début, on veut sa mort parce que son sang n'est pas pur, des élèments qu'elle comprendra plus tard.
Et puis, son grand père la rencontre, il la regarde et décide qu'elle vivra, sous ce toit, en tant qu'Harvey, en tant que sang pur.
Ce qui lui répondra alors Jocelyn c'est qu'elle n'est pas manipulable, qu'elle est trop intelligente pour suivre la voie qu'il voudra lui donner et qu'elle trouvera son propre destin.

Mais finalement, celui qu'elle choisira se rapprochera fortement du chemin que son grand père lui voyait déjà. Elle écoute attentivement tout ce que lui raconte le vieil homme, admiratif parce qu'elle lui avoue avoir déjà manifesté des pouvoirs. Il reconnait dans les paroles de l'enfant la devise de la famille. Elle vaut bien son statut d'Harvey.
Les occupations de Jocelyn à l'époque se résument alors aux longues conversations avec son grand père et aux livres de magie qu'elle dévore.
Plus les jours passent et plus elle se sent à sa place. Ses parents ne lui manquent pas, un père moldu... quelle horreur ! Une mère qui lui cache sa nature et renie une famille au sang pur, n'en parlons pas ! Et pourtant, même dans une grande famille comme celle ci, elle trouve toujours le moyen de se sentir supérieure. Mais cela n'agace en rien son grand père qui lui voit un grand chemin.
Avant même d'entrer à Poudlard, Jocelyn parvint à mettre le vieil homme dans sa poche et à devenir sa favorite. Ainsi, les autres membres de la famille n'ont plus leur mort à dire sur son statut de sang mêlé.

Et puis, l'été de ses onze ans, elle reçoit finalement sa lettre d'admission à Poudlard. Elle n'est pas surprise, il est normal qu'elle soit prise dans une école de magie avec de telles capacités. Bien que l'école soit dirigée par un homme aux convictions stupides et nettement différentes des siennes, elle est heureuse de pouvoir en apprendre plus sur la magie. Evidemment, le choixpeau magique l'envoie à Serpentard sans prendre le temps de la réfléxion. La même maison que la seule personne qu'elle verra plus tard comme un ami: Caleb Parker. Elle est en première année, il est en cinquième année dans la même maison. Il est doué, elle l'est également, ils partagent les mêmes convictions, de quoi le respecter au minimum au début. Et puis, de quoi s'en faire un ami avec le temps. Ensemble, ils parlent d'une personne qu'elle admire déjà beaucoup: Lord Voldemort.
Ses exploits et le reste, et puis ces maudits sang de bourbe qui leur font déshonneur, ainsi que ces moldus inutiles. Quand il quitte Pourdlard trois ans plus tard, elle le voit comme une sorte de grand frère.

Ses études ? Brillantes. A vrai dire, on la considère comme la meilleure élève de toute l'école et c'est un statut mérité. L'ironie est qu'elle déteste déjà la future matière qu'elle enseignera: l'Arithmancie.
A cette époque, elle fera la connaissance d'Horace Slughorn, son directeur de maison qui l'appréciera immédiatement, lui voyant également un avenir prometteur.
Les années filent à Poudlard et la jeune élève n'a qu'une seule hâte. Sortir de cette école pour affirmer ses convictions. Et au cours des vacances d'été de ses 17 ans, son destin s'affirme lorsqu'elle rencontre Lord Voldemort. Impressionnée, mais qui ne le serait pas devant le plus grand mage noir de tous les temps, elle se jure alors de le servir dès sa sortie de Poudlard. Ce qu'elle fait un an plus tard.
La jeune fille passe alors beaucoup de temps avec lui, parce qu'il le veut et qu'on ne contredit pas le Seigneur des Ténèbres, mais également parce qu'elle le souhaite. Plus le temps passe, et plus elle lui donne l'image d'un père à ses yeux, du moins celui qu'elle aurait aimé avoir.

Elle retrouve alors Caleb, elle a grandit, a prit de l'assurance. Lui est toujours aussi doué, et sans s'en rendre compte, peu à peu, elle ne le voit plus comme le grand frère d'autrefois. Mais pour l'instant, ceci n'a pas vraiment d'importance. La chose que l'on doit retenir de cette époque est sans aucun doute le meurtre effroyable de son propre père. Jocelyn vient d'avoir vingt ans et le Seigneur des Ténèbres lui demande de tuer son moldu de père. Elle accepte. Obéir à Lord Voldemort est une question de bon sens, et puis qu'est-ce qu'elle ne ferait pas pour lui ? De toute façon, tuer son père allait dans la logique des choses. La jeune femme ne le voyait même plus comme un père, elle avait repris le nom de sa mère, le nom d'une famille de sang pur.
Alors elle le retrouve. Cet idiot ne la reconnait pas, il a refait sa vie avec des moldus. Jouant son habituelle comédie, elle se fait inviter chez lui et lui raconte alors l'histoire de sa vie. Au fur et à mesure, elle voit la mine de son père se décompensait. Cruelle, elle abuse du sortilège doloris avant de mettre finalement fin à ses souffrances pour retourner auprès de celui avec lequel elle partage beaucoup de points communs.

Et puis, Lord Voldemort lui demande de se rendre à Poudlard en tant que professeur. Encore une fois, obéir au Seigneur des Ténèbres est une priorité si on tient à sa vie. Le servir est un honneur. Mais enseigner l'Arithmancie est loin d'être une mission exaltante. Elle reprend alors un rôle pendant lequel elle doit surveilleur le très cher Directeur Albus Dumbledore et trouver un moyen de lever la protection de Poudlard. Petite distraction: avoir pour collègue Jack Campbell, celui qui leur a échappé à son maître et à eux.
Elle retrouve également Horace Slughorn qu'elle n'a pas de mal à se mettre dans la poche. Mais retrouver son ancien directeur de maison, elle doit bien l'admettre, c'est assez plaisant quand il s'agit de Serpentard.

Vous et Poudlard: Poudlard... disons que Jocelyn est partagée. Poudlard pour Serpentard, la magie et quelques sorciers qui valent la peine... oui pour ces raisons là, Poudlard peut valoir le coup. Mais il faudrait d'abord un peu désinfecter tout ça. La première chose à faire serait de tuer Albus Dumbledore, un directeur à la fois fou et dangereux. Mais avant tout une personne qui ne partage pas leur conviction. La preuve en est que Poudlard est ouvert à tout ceux qui ont des pouvoirs... iccompris à ces sangs de bourbe qui ne valent pas mieux que les moldus. Mais le jour viendra où cette école aura l'image parfaite que Jocelyn s'en fait. En tout cas, le moins qu'on puisse dire, c'est que les cours d'Arithmancie n'appartiennent pas aux raisons qui peuvent la faire aimer Poudlard.

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Relations:

Famille:

Pour ce qui est de ses parents, ils sont morts tous les deux et ce n'est pas une grande perte. La mère s'est suicidée parce que son petit moldu a prit la fuite. Le petit moldu est mort parce que la gentille petite fille a fait une bonne action pour le monde. Il n'y a pas grand chose à rajouter sur eux.
Pour ce qui est des Harvey, certains sont morts, mais elle ne citerait pas grand monde dans ceux qui restent. Le seul dont on pourrait parler, c'est son grand père, William Harvey. L'homme qui l'a élevé et qui lui a apprit tout ce qu'elle aurait voulu savoir dès le début. Il vit encore aujourd'hui dans son manoir, elle lui rend visite de temps en temps, mais plus rarement que souvent.

Amis:

¤ Caleb Parker: Elle l'a rencontré à Poudlard et l'a d'abord considéré comme un grand frère qui méritait le respect. Elle le considère comme son égal et a découvert grâce à lui qu'elle était capable d'apprécier une personne. A sa sortie de Poudlard, leur relation change mais pas en apparence. Elle finit par se rendre compte qu'elle éprouve sans doute plus que de l'amitié pour lui et elle a même finit par l'admettre. Elle n'a cependant rien confessé à personne.

¤ Horace Slughorn: Elle l'apprécie mais il est vrai qu'elle se dit qu'il pourrait être utile. C'est son ancien directeur de maison et professeur de potions. Aujourd'hui, c'est son collègue. Finalement, c'est le seul qu'elle apprécie.

Ennemis:

¤ Pas mal de mangemorts, mais elle reconnait que ces stupides brebis ont de quoi être jaloux. Après tout, ils ne sont que des pions, alors qu'elle est une pièce maîtresse.

¤ Sûrement quelques collègues dont Minerva McGonagall. Mais elle se fiche pas mal qu'ils n'aiment pas trop sa manière d'enseigner. Et puis, ce ne sont pas réellement des ennemis pour le moment puisqu'elle joue la prof normale. Un jeu parfait qui n'attire pas les soupçons. La partie crédible est qu'elle ne fait pas semblant d'aimer l'arithmancie, alors si ça leur pose un problème, ils n'ont qu'à échanger avec leur matière.

Côté coeur:

¤ Caleb Parker: Elle a finit par admettre que c'était plus qu'un ami bien qu'elle n'ait rien dit.

Autre:

¤ Lord Voldemort: Ce serait trop prétentieux de le placer en tant qu'ami ou en tant que père. Mais c'est toutefois le statut du second qu'il représente un peu pour elle. Cependant, elle ne se permet pas de le traiter avec familiarité et lui témoigne tout le respect qu'il mérite. Evidemment, ce respect est mêlé à de la crainte. Mais qui n'aurait pas peur de Lord Voldemort ?

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Inventaire:

Baguette: Bois d'orme, 24.8 cm, contenant un nerf de coeur de dragon.
Animal de compagnie: Aucun
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